samedi 11 juin 2011

Inauguration du circuit à Dédé

Notre vénéré Président avait lancé l'idée récemment : chacun devait proposer son circuit préféré, qui se verrait attribuer son nom. Les propositions arrivent lentement sur le bureau de Pascal, celle de Dédé y est déjà depuis un moment. Nous avons profité de cette belle après-midi pour la reconnaître.
Dédé a un attachement tout particulier pour la route de Trie, il est vrai qu'il y habite...
Nous partons donc en direction de la capitale du cochon, nos montures connaissent par coeur. Nous profitons du pilote automatique pour bavarder à bâtons rompus. La moyenne s'en ressent un peu : il faut arriver au pied de la côte (est-ce encore une côte ?) pour que les chevaux se libèrent un peu. Nous en profitons pour semer notre vénérable et presque octogénaire qui, pour se venger nous largue pour rejoindre Villembits par les chemins de traverse : il parait qu'ils ont sa préférence...
Trie, Villembits, Serre-Rustaing, la côte de Meilhas, nous retrouvons Aimé qui a bien roulé. Longue descente vers Goudon, on y croise pas mal de cyclos, cette route attire toujours du monde. Le début de balade a été fatal à J-Claude, qui se remet difficilement d'une gastro. Il nous quitte à la tournée de la plaine vers Villecomtal, il rentrera directement à la maison (il y est bien arrivé !) .


Petite pause obligatoire au lac de l'Arrêt-Darré, casse-croûte, photo, bavardage et admiration du site ; la montagne est malheureusement dans les nuages.
On enfourche nos bécanes pour remonter vers Laslades. Puis direction plein nord pour la longue plaine qui nous conduira à Rabastens. Les orages sont passés par là, la route garde les traces des débordements de boue, habituels à cette saison.
Pour éviter la nationale, Dédé nous propose de pousser jusqu'à Haget: ça convient à la majorité. Nous rejoignons donc Villecomtal par les petits chemins, toujours plaisants et bucoliques, encadrés de plantations variées où commencent à dominer le maïs et le tournesol. Quelques soleils éclatants pointent déjà au milieu de la marée verte.
Mais voici Villecomtal, sa laiterie, sa nationale pourrie, cauchemar du cycliste, et le pied de la longue côte de Saillères. Là aussi nos vélos enclenchent tout seuls le pilotage automatique. Que nous déconnectons à la vue du superbe cerisier en haut de Mazous. La pause est bienvenue, les bigarreaux délicieux.
Encore deux difficultés, la côte de Mazous est avalée au train, et celle du moulin, on en fait qu'une bouchée. Dernier bavardage devant chez René et retour vers le foirail.

Belle balade proposée par Dédé qui l'a parcourue sans fléchir avec dix de ses copains qui l'on particulièrement appréciée : 75km et 670m de dénivelé

JFR

Le circuit à Dédé est visible ICI

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