C'est un groupe de 9 cyclos motivés qui se dirige plein sud, vers la montagne, dont les versants enneigés éblouissants nous attirent irrésistiblement. Personne n'a proposé de circuit, mais nous nous retrouvons à rouler vers le soleil, sans but précis. Jusqu'où irons-nous? les Baronnies, l'Aspin, on verra: pour l'instant les jambes sont souples et moulinent allègrement.
Nous arrivons rapidement sur le plateau, la vue est superbe, que ce soit vers le piémont à portée de pédale, ou vers la plaine étalée à perte de vue.
L'attraction est trop forte, nous décidons de pousser vers les Baronnies: il est encore un peu tôt pour la haute montagne. Et nous voilà bientôt au pied de la première difficulté, la fameuse côte de ... dring!! dring!! dring!!
Le téléphone sonne et me réveille: je me suis endormi sur le canapé, devant la baie vitrée, face aux Pyrénées. Le temps est exécrable, il pluviote, le vent est soutenu. Un temps à bloquer les cyclos à la maison.
Bon, ça n'est que partie remise, on se rattrapera en février...
JFR
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